Sixième album pour les Américains de Symphony X qui ont mis en place un concept autour de l’Odyssée d’Homère en huit mouvements d’un metal progressif de haute volée. Autant le dire tout de suite, cet opus est une véritable réussite, tant musicalement, que dans le développement de ce concept particulièrement délicat. Dix-huit après, il apparaîtLire la suite « SYMPHONY X – The Odyssey (2002) »
Archives de l’étiquette : Symphony X
DARKTRIBE – Voici l’Homme (2020)
Troisième album pour les Niçois de Darktribe dont le power metal nous invite à un voyage à travers une musique puissante, mélodique et technique, portée par un bel équilibre entre la voix d’Anthony Agnello, les guitares de Loïc Manuello et la section rythmique composée de Bruno Caprani et Julien Agnello. Les arrangements sont également deLire la suite « DARKTRIBE – Voici l’Homme (2020) »
ALTHERYA – New Dawn (2019)
La France du metal est riche de talents à découvrir. Originaire de Colmar, Altherya est une formation œuvrant dans un metal progressif puissant et mélodique qui doit autant à Epica qu’à Arch Enemy, à Symphony X qu’à Porcupine Tree. Autant dire que le spectre de leurs compositions est large, permettant à l’auditeur de passer d’unLire la suite « ALTHERYA – New Dawn (2019) »
ADRENALINE MOB – We The People (2017)
Un troisième album n’est jamais chose facile pour un groupe, surtout lorsqu’on s’appelle Adrenaline Mob et que la fatalité vient de vous frapper en pleine tournée avec la mort de votre batteur A.J. Pero et que la géométrie de votre section rythmique est très variable. Après le retour sporadique de Mike Portnoy, présent sur leLire la suite « ADRENALINE MOB – We The People (2017) »
EVERGREY – The Atlantic (2019)
Evergrey a toujours été un groupe à part, évoluant dans un univers qui lui est propre. Sans doute est-ce une raison pour laquelle il n’a pas toujours été reconnu du grand public, alors que son talent est indéniable. En dépit de la qualité de ses albums, dont certains sont de véritables chefs-d’œuvre, il demeure unLire la suite « EVERGREY – The Atlantic (2019) »