Faire la chronique de Club Ninja, l’album le plus controversé de Blüe Öyster Cult sans s’occuper de tout ce qui a été déversé dessus depuis sa sortie n’est pas chose aisée. Enregistré deux ans après l’échec commercial de The Revölution by Night, il devait redorer l’image d’un groupe un peu à la dérive. Premier noteLire la suite « BLÜE ÖYSTER CULT – Club Ninja (1985) »
Archives de la catégorie : Chronique
KROKUS – Heart Attack (1988)
Deux ans après le désastreux Change of Address et un an après Alive & Screaming, Krokus revient avec de nouvelles intentions, une nouvelle section rythmique (enfin, pas tout à fait, puisqu’on note le retour de Chris Von Rohr) et un nouveau label. Le son est plus brut, les compositions plus hard rock, les riffs plusLire la suite « KROKUS – Heart Attack (1988) »
KROKUS – Change of Address (1986)
Poussé par sa maison de disques, Krokus poursuit son évolution entamée sur son précédent disque deux ans auparavant. Sauf que ce n’est plus à un changement de style que se livre le groupe, mais à une émasculation. Du rock à la AC/DC, il ne reste vraiment plus aucune trace tout au long des neuf titresLire la suite « KROKUS – Change of Address (1986) »
KROKUS – The Blitz (1984)
Après Headhunter, son album le plus heavy, Krokus change son fusil d’épaule pour livrer un disque de hard rock, avec quelques touches heavy rock très américaines, dues à la production de Bruce Fairbain qui essaie d’inscrire le groupe dans la vague en provenance d’outre-Atlantique. C’est assez évident sur « Midnite Maniac » dont le refrain possède d’indéniablesLire la suite « KROKUS – The Blitz (1984) »
ANVIL – Legal At Last (2020)
Deux ans après Pounding the Pavement, Anvil revient avec ce Legal At Last, puissant, racé, heavy, mélodique et chargé d’histoire, tant le trio s’est replongé dans ses racines. Renouant avec Forged In Fire (1983) dont il reprend certains thèmes, les Canadiens poursuivent leur redressement, en nous livrant un album sérieux, toujours aussi frais et naïf,Lire la suite « ANVIL – Legal At Last (2020) »
ANGEL – White Hot (1979)
Quatrième album d’Angel, White Hot est aussi le premier sans le bassiste Mickie Jones, remplacé par Felix Robinson. Cela ne change pas foncièrement la musique du groupe, même si on note un certain allégement du son et une prépondérance prise par les claviers. La production d’Eddie Leonetti est sans doute en cause. Ce producteur quiLire la suite « ANGEL – White Hot (1979) »
BILOXI – Let The Games Begin (1993)
Si Biloxi tire son nom d’une ville du Mississipi, la formation est originaire de Los Angeles en Californie, où elle s’est formée en 1988 autour du chanteur Clyde Holly. Après de nombreux changements de personnel, le groupe signe avec le label japonais Zero Corporation qui publie son premier album Let The Games Begin. Pourquoi unLire la suite « BILOXI – Let The Games Begin (1993) »
RAINBOW – Difficult to Cure (1981)
Après l’échec humain et commercial de la période Graham Bonnet, avec le mésestimé Down to Earth, Ritchie Blackmore change une partie de son groupe. Il engage notamment Joe Lynn Turner au chant, en provenance de Fandango et le batteur Bobby Rondinelli. Cette nouvelle mouture, plus commerciale, s’oriente vers un hard FM puissant, en faisant notammentLire la suite « RAINBOW – Difficult to Cure (1981) »
TESTAMENT – Low (1994)
Après The Ritual, qui a marqué une vraie scission dans le groupe et parmi les fans, Testament voit partir Alex Skolnick et Louie Clemente pour être remplacés par James Murphy et John Tempesta. Cela change la dynamique d’ensemble et, forcément, la musique. Le jeu de Murphy est moins fluide, moins éclectique, mais recentre le groupeLire la suite « TESTAMENT – Low (1994) »
KROKUS – One Vice At The Time (1982)
Troisième album studio avec Marc Storace au chant, One Vice At The Time est clairement un hommage à AC/DC, même si certains y voient une sorte de plagiat. Enregistré aux Battery Studios de Londres, là où les Australiens mixaient For Those About To Rock, il regroupe neuf brûlots hard’n’roll basés sur des riffs en douzeLire la suite « KROKUS – One Vice At The Time (1982) »