Formée en 1981 à Glasgow, sur les cendres de Wheeper, par le batteur Gary Moat, Heavy Pettin doit son nom à l’album No Heavy Petting de UFO sorti en 1976. Les racines du groupe plongent donc dans le hard rock des années 1970 plutôt que dans le heavy metal comme la plupart des groupes deLire la suite « HEAVY PETTIN – Lettin Loose (1983) »
Archives de l’auteur : Denis Labbé
STARFIGHTERS – Starfighters (1981)
Formé fin 1979 à Birmingham sous le nom de Savage par Stevie Young et Spencer Scrannage, le groupe change rapidement de chanteur et de patronyme pour enregistrer le 45T « Heaven and Hell »/« I’m Falling » sur le label Motor City Rhythm Records. Starfighters est ensuite signé par Jive Records et enregistre un premier album de hard rockLire la suite « STARFIGHTERS – Starfighters (1981) »
ALLY VENABLE – Texas Honey (2019)
Guitariste et chanteuse, Ally Venable sort déjà son troisième album à tout juste vingt ans. Autant dire que la valeur n’attend pas le poids des années avec elle. Car à l’écoute des onze titres qui composent cet excellent Texas Honey, on peut se rendre compte que la jeune femme maîtrise à la fois la guitareLire la suite « ALLY VENABLE – Texas Honey (2019) »
PRETTY MAIDS – Maid In Japan Back to the Future World (2020)
Enregistré lors de la tournée célébrant les trente ans de la sortie de Future Wolrd (1987), Maid in Japan Back to the Future Wolrd nous offre un superbe instantané sur un groupe qui n’a jamais démérité. Depuis 1984, les Danois nous régalent avec des albums qui oscillent entre le très bon et l’excellent, et quiLire la suite « PRETTY MAIDS – Maid In Japan Back to the Future World (2020) »
CHASTAIN – We Bleed Metal (2015)
Il n’aura fallu que deux ans pour voir paraître un nouvel album de Chastain, qui plus est, avec le même line-up que pour le précédent, ce qui n’était pas arrivé depuis 1988. L’orientation musicale est toujours la même, comme le clame Leather Leone dès le premier morceau, « We Bleed Metal » qui donne d’ailleurs son titreLire la suite « CHASTAIN – We Bleed Metal (2015) »
LOUDNESS – Spiritual Canoe (2001)
Treize ans après sa dernière apparition sur Jealousy et après son éviction au profit de Mike Vescera, Minoru Niihara revient au bercail en remplacement de Masaki Mayada qui avait chanté sur les cinq albums précédents. Les fans espéraient donc un retour au style des débuts. Malheureusement pour eux, Loudness évolue dans un heavy metal sousLire la suite « LOUDNESS – Spiritual Canoe (2001) »
CHEAP TRICK – At the Budokan (1979)
Lorsque Cheap Trick enregistre cet album live au Japon, le groupe n’a que deux albums studio à son actif, et un succès tout relatif aux Etats-Unis. Le pays du Soleil levant apparaît donc comme une sorte d’El Dorado. Pourtant, tout commence assez mal, puisque des protestations accueillent la venue des Américains dans cet ancien dojoLire la suite « CHEAP TRICK – At the Budokan (1979) »
CHASTAIN – The 7th Of Never (1987)
Ce troisième album de Chastain marque un changement important dans la carrière du groupe. En effet, si les quatre musiciens sont toujours les mêmes, David T. Chastain a décidé de créer son propre label afin de rester libre de sa direction artistique. En France, c’est l’excellent label Black Dragon qui publie cet opus, avec uneLire la suite « CHASTAIN – The 7th Of Never (1987) »
LOUDNESS – 2-0-1-2 (2012)
Vingt-cinquième album studio de Loudness, 2-0-1-2 montre un groupe en pleine possession de ses moyens et désireux de faire évoluer sa musique, comme c’est le cas depuis ses débuts. L’auditeur se retrouve donc face à un mur de guitares heavy qui nous délivrent un metal racé, puissant, moins sombre qu’à l’époque de Spiritual Canoe, quiLire la suite « LOUDNESS – 2-0-1-2 (2012) »
TEN YEARS AFTER – Ssssh (1969)
Quelques mois à peine après Stonedhenge, Ten Years After publie Ssssh, un album enregistré dans des conditions quasiment live. Il sort en juin, alors que le groupe s’apprête à jouer à Woodstock deux mois plus tard. Les retombées de ce concert donné le 17 août seront énormes pour le groupe, puisque cela va le propulseLire la suite « TEN YEARS AFTER – Ssssh (1969) »